Malgré les récentes levées de sanctions économiques à l’égard de l’Iran suite à l’accord sur le nucléaire de 2015, les perspectives de respect des droits de l’homme sont de plus en plus mauvaises. 2015 a été l’une des années les plus noires en terme d’exécutions et de plus en plus de défenseurs des droits humains sont emprisonnés. Etant donné que le pouvoir est entièrement aux mains du guide suprême Ali Khamenei, il est peu probable de voir de grandes évolutions en matières de respect des droits de l’homme dans un futur proche. Pour la réalisation de cet article, le professeur et spécialiste de l’Iran Mohammad-Reza Djalili nous présente la situation et nous explique pourquoi « ouverture internationale » peut rimer avec « répressions internes ».
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