L’empreinte écologique des fleurs

The making of a coffin bouquet in a flower shop in Zurich, Switzerland, on June 4, 2015. (KEYSTONE/Gaetan Bally) Herstellung eines Sargbouquets in einem Blumenladen in Zuerich, am 4. Juni 2015. (KEYSTONE/Gaetan Bally)

Les Suisses sont les plus grands acheteurs mondiaux de fleurs. Ils en achètent trois fois plus que leurs voisins européens. Mais le petit bouquet posé sur nos tables à manger porte un bilan écologique conséquent. Voyage en avion, en camion et gaspillage… Pas facile de vendre de la fleur responsable.

Rencontre avec Pierre-Yves Bovigny, maître d’enseignement et de recherche à l’HEPIA et Anita Schoett, fleuriste au Fleuriste de Carouge

Le retour florissant des fleurs séchées

Impossible de l’avoir loupée, la fleurs séchée est incontournable depuis deux ans. Face aux difficultés pour trouver une fleur plus responsable, de plus en plus de consommateurs optent pour ces bouquets sans date de péremption. Une nouvelle génération de fleuristes s’empare de la pratique et la remet au goût du jour.

Mathilde Salamin

Image Pixabay etGaetan Bally (Keystone-ATS)

Ce travail journalistique a été réalisé pour les cours « Atelier audio/vidéo », dont l’enseignement est dispensé collaboration avec le CFJM et la RTS, dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.

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