À la suite des printemps arabes de 2011, la Suisse bloque des comptes en banque, car l’argent déposé est suspecté d’être d’origine frauduleuse. Ils appartiennent aux proches des dirigeants qui viennent d’être déchus. Dix ans plus tard, une grande partie des sommes est toujours gelée. Les démarches sont compliquées et lentes, alors que les délais approchent. Retour sur les cas égyptien et tunisien.
Par Cléa Mouraux et Myrtille Wendling
Ce travail journalistique a été réalisé pour le cours “Publication, édition et valorisation numérique”, dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.
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