Début février paraissait le dernier numéro du journal L’Hebdo. Après 36 ans d’enquêtes et de débats, l’éditeur Ringier Axel Springer donnait le coup de grâce à l’hebdomadaire romand.
La rédaction lausannoise commune au Temps et à l’Hebdo, créée en 2015, est décimée: 37 postes sont supprimés dont 30 postes de journalistes. Une partie de la droite nationaliste, Yvan Perrin en tête, s’est réjouit de la disparition d’un titre qui assumait une position de centre-gauche. C’est le combat pour l’adhésion à l’Union Européenne qui restera la lutte principale du journal. La vague de réactions choquées et attristées a déferlé sur la Suisse romande et au-delà.
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