En Suisse, le variant Omicron s’invite dans les salles d’examens. Les sessions universitaires actuelles se déroulent en plein rebond de la pandémie. Le taux élevé de contaminations et de quarantaines inquiète les étudiants. La peur de ne pouvoir repasser rapidement leurs épreuves si besoin ont amené des personnes positives au Covid à se présenter tout de même à leurs partiels à l’Université de Lausanne. Il n’en fallait pas plus pour affoler les élèves.
Mis devant le fait accompli
L’Université de Neuchâtel a fait le choix d’une session d’examens organisée entièrement à distance. Un basculement soudain, annoncé deux jours avant son commencement, forcément, ça déstabilise. Et pour cause : des professeurs ont en profité pour changer les modalités prévues. Il n’en fallait pas plus pour affoler les étudiants.
par Maxime Crevoiserat
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Ce travail journalistique a été réalisé dans le cadre du cours “Atelier audio/vidéo”, dont l’enseignement est dispensé en collaboration avec le CFJM, dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.