Les Genevois se prononceront le 9 février sur l’abolition de l’impôt sur les chiens. Instauré au 19ème siècle pour lutter contre la rage, cet impôt est pour certains désuet et injuste alors que pour d’autres, il est essentiel au travail des communes. Explications de Léa Frischknecht.
Les politiques ne sont pas les seuls à s’écharper sur le sujet. Pour la population genevoise, le sujet est plus émotionnel que rationnel. Pourquoi l’impôt sur les chiens est-il si « sensible »? Entretien avec Florian Cova, professeur de philosophie à l’Université de Genève.
Ce travail journalistique a été réalisé pour les cours « Atelier audio/vidéo », dont l’enseignement est dispensé collaboration avec le CFJM et la RTS, dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.