Un migrant à la maison : pas pour demain

Plusieurs familles vaudoises se sont portés volontaires pour accueillir des migrants chez eux. Pourtant, le délai d’attente dépasse parfois plus de trois mois. Une situation que  l’Organisation suisse des réfugiés (OSAR)  a du mal à gérer.

Par Joël Regli et de Guillaume Martinez.
Article publié en janvier 2016 par le Matin.

 

Derniers articles de Ecrit