ÉDITO
Changer nos habitudes, verdir nos réflexes, reprioriser nos exigences. Face à la crise climatique, la reconfiguration est de mise ! Lorsqu’on consulte l’effrayant podium des secteurs les plus émetteurs en CO², la médaille d’argent revient aux transports. Position cadette entre les émissions dues à la combustion d’énergie et l’industrie.
La mobilité joue donc un rôle central dans la transition écologique. Et au sein de notre rédaction, elle fait couler beaucoup d’encre. Pour dessiner de manière écoresponsable nos déplacements, la première étape est donc de décrypter et de questionner ce qui existe chez nous.
Dans ce changement d’équilibre, les mots occupent une place prépondérante. Comment qualifier la mobilité de demain tout en initiant un changement de mentalités ? Thibaud s’est plongé dans le rôle que jouent les termes. De «mobilité douce» à «mobilité active», il suggère une nouvelle approche, pour une conscience écolo plus éveillée.
Sur le même créneau, Solène a investigué sur le recyclage des batteries au lithium. Elle propose, dans une vidéo explicative, un éclairage local sur la question. A toutes les personnes adeptes des transports électriques, des solutions existent pour rendre encore plus écolos vos trajets.
Et parce qu’il n’y a pas d’heures pour voyager responsable, je vous propose aujourd’hui un focus sur une question qui fâche : y a-t-il suffisamment de transports publics la nuit ?
Alors, si vous souhaitez du contenu inspirant pour une reconfiguration, vous trouverez quelques tips sur nos réseaux sociaux et notre site !
Bon visionnage/lecture/découverte
Par Salomé Laurent
Ce travail journalistique a été réalisé pour le cours « Production de formats journalistiques innovants », dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.
