Des clients propriétaires. C’est le cas dans les épiceries coopératives. Un modèle économique qui n’est pas basé sur le profit. Il dépend de l’investissement de bénévoles.
Si ce fonctionnement a fait ses preuves économiquement, le problème est ailleurs. Il est humain.
Ce phénomène prend de l’ampleur en Suisse romande. Avec peu d’avantage matériel, les motivations sont avant tout philosophiques.
Ce travail journalistique a été réalisé pour les cours « Atelier audio/vidéo », dont l’enseignement est dispensé collaboration avec le CFJM et la RTS, dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.