Amanda Jenni

Depuis toute petite, j’ai toujours été curieuse. Lorsque que je m’intéressais à quelque chose, je voulais tout comprendre. En grandissant, cette curiosité m’a naturellement dirigée vers les sciences. Véritable amoureuse des animaux, je voulais devenir vétérinaire. Un rêve d’enfant que j’ai nourri pendant de longues années. Il m’a même poussée à partir vivre une année en Allemagne comme fille au pair afin de perfectionner mon allemand. La filière la plus proche se situant à Berne, j’ai dû passer le concours du numerus clausus. L’échec qui s’en est suivi a malheureusement (ou heureusement) balayé tous mes plans d’avenir et mon rêve de petite fille. J’ai donc envisagé un autre chemin.

Comme plan b, je m’étais inscrite à l’Université de Neuchâtel en littérature française et en sciences de l’information et de la communication. L’idée de devenir journaliste et de me détourner pour de bon des sciences a gentiment fait son chemin. J’ai su au cours de mon bachelor que la médecine vétérinaire n’était peut-être pas faite pour moi et que le journalisme me correspondrait mieux.

En effet, j’ai toujours eu cette envie de m’impliquer dans la société et de contribuer à la chaîne d’information. Nous avions, dans ma famille, un rituel où, plusieurs soirs par semaine, nous nous installions devant le 19h30 de la RTS ou le 19h45 de M6. D’aussi loin que je me souvienne, des débats et discussions autour de l’actualité ont eu cours lors de nos repas. J’ai toujours eu cette habitude de vouloir savoir et comprendre ce qui se passait dans le monde. Le journalisme est un métier que j’admire et que j’ai pu découvrir par des figures telles que Hugo Clément, Charles Villa ou encore Salomé Saqué. Je me réjouis de l’apprendre à l’AJM.

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