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Agir pour ne pas subir le temps qu’il nous reste

Vieillir ça fait flipper, surtout en ce moment avec la crise climatique. Mais peut-être que la solution pour calmer ses angoisses c’est d’arrêter de s’inquiéter du temps qui passe pour commencer à investir Le temps qui reste.  Une idée défendue par Patrick Boucheron dans son dernier essai.

Par Élio Sottas
Ce travail journalistique a été réalisé pour le cours "Production de formats journalistiques innovants", dans le cadre du master en journalisme de l'Académie du journalisme et des médias (AJM) de l'Université de Neuchâtel.

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