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Les “NFT” expliqués par des jeunes romands

Alpine Mining employees Bertrand Deldon, left, and Patrick Widmer, right, are lit by the LED status lights of electronic boards during a long exposure photograph at a cryptocurrency mine in the small alpine village of Gondo, Switzerland, Monday, May 7, 2018. The village formerly host to gold mining activities over a century ago has now attracted the cryptocurrency mining computing centers of the "Alpine Mining" company thanks to electricity prices among the lowest in Switzerland. Split in two computing centers, 1800 graphic cards (GPUs) with a power consumption of 300 kW mine various crypto currencies based on blockchain technology such as Bitcoin (BTC), Ethereum (ETH), Monero (XMR) or Litecoin (LTC). (KEYSTONE/Valentin Flauraud)

Plus de 25 milliards de dollars. C’est ce que le marché de l’art NFT a rapporté en 2021. Les NFT, abréviation pour Non Fongible Token, sont des titres de propriétés certifiant l’originalité d’une œuvre numérique.

Pour mieux comprendre ce qu’ils sont concrètement et en saisir les principaux enjeux, nous avons rencontré trois jeunes Romands et Romandes qui explorent ce nouvel espace de l’art numérique.

NTF, condamnés à polluer?

Le secteur des NFT, en plein boom, est très polluant. Les NFT sont basés sur la même technologie que le Bitcoin : la blockchain. Une sorte de livret de compte numérique qui permet de donner une identité unique à, par exemple, une œuvre d’art. Mais le matériel et les systèmes informatiques que la blockchain emploie majoritairement (la proof of work) consomment énormément d’électricité. Explications.

Mathias Délétroz

Photo : Keystone ATS/Valentin Flauraud

Ce travail journalistique a été réalisé pour les cours “Atelier audio/vidéo”, dont l’enseignement est dispensé collaboration avec le CFJM et la RTS, dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.

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