Amélie Fasel

Journaliste. L'unique réponse à la question si souvent posée : « Et toi Amélie, que veux-tu faire plus tard ? » Les adultes peuvent se rassurer. Aujourd'hui, j’ai le privilège de me sentir à ma place. Etudier le métier dans lequel je me suis projetée est une chance. Me rendre compte qu’il s’inscrit dans mes valeurs, un privilège. Animée par l'espoir de faire bouger les lignes, j'apprends avec une fascination critique.

Je m’appelle Amélie Fasel et je ressens le besoin profond de me sentir entourée. Le calme m’inspire, mais la relation aux autres donne son sens à mon univers. L'été avant mon entrée à l'Académie du journalisme et des médias, une citation de l'écrivain Sylvain Tesson m'a particulièrement marquée :

« C'est un vrai choix de creuser le désespoir ou de célébrer la beauté »

Dans le documentaire La panthère des neiges, les photographies de Vincent Munier sont comme des poèmes silencieux et Sylvain Tesson fait des images avec les mots. J'aspire à savoir, moi aussi, composer avec ces disciplines pour décrire la réalité du monde.

La Suisse est douce avec l’industrie du sucre

La Suisse est douce avec l’industrie du sucre

Malgré les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé, la Suisse demeure indulgente avec le sucre. Dernièrement, la Confédération a tout de même passé un accord pour en réduire la dose dans les sodas.

Place à celles qui luttent

126 lutteuses se sont affrontées samedi 24 juin à Tramelan, dans le Jura bernois. Lentement, les femmes se font une place dans cet univers traditionnellement masculin. La Fête de la lutte suisse féminine a attiré presque 600 personnes, soit dix fois moins que la compétition des homme qui a eu lieu le lendemain. Par Amélie Fasel et Flavia Gillioz Crédit photo mise en avant : KEYSTONE/

Petit coup de pédale pour faire évoluer les priorités

La cheffe de la rubrique "Guichet" de la journée de mardi Amélie Fasel vous propose son édito.

Comment la Suisse gère-t-elle la migration de transit?

En Europe, les flux migratoires repartent à la hausse depuis l’accalmie des mesures Covid-19. Si la Suisse ne compte pas parmi les principaux pays de refuge, un grand nombre de migrants transitent à travers le territoire helvétique. Explications avec Amir, un personnage fictif en situation de migration irrégulière. Il est 6h56 quand le train d’Amir entre en gare de Buchs, dans le canton de Saint-Gall. Sur le quai, une dizaine de gardes-frontières s’apprêtent à monter dans les wagons pour contrôler les papiers des voyageurs. Comme lui, plusieurs centaines de migrants – souvent en provenance d’Irak, de Syrie ou d’Afghanistan –

Amélie Fasel

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