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Coronavirus et travail du sexe: une reprise timide

Venusia, travailleuses du sexe, tableau

Après trois mois sans revenu, et pour certaines sans logement, les travailleuses du sexe ont pu reprendre leurs activités le 6 juin dernier. Entre la peur du coronavirus et l’instauration de mesures sanitaires parfois inédites, la reprise se fait timidement.

Ce travail journalistique a été réalisé pour les cours “Atelier TV”, dont l’enseignement est dispensé collaboration avec le CFJM et la RTS, dans le cadre du master en journalisme de l’Académie du journalisme et des médias (AJM) de l’Université de Neuchâtel.

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